Supposons maintenant qu'il y ait eu quelqu'un à bord du second bateau. L'occupant du premier bateau lui crierait tout de suite de dégager la voie. S'il n'obtenait pas de réponse, même au bout de deux ou trois interpellations, cela finirait inévitablement par une bordée d'injures.
Dans le premier cas, rien ne se passe, dans le second, il se produit une réaction de colère. Tout cela parce que, dans le premier cas, le bateau est vide et que, dans le second, il est occupé. Il en va de même pour 1’homme.
Si seulement l’homme pouvait suivre le cours de la vie tel un esquif vide, qui donc serait en mesure de l'insulter ?
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