mardi 28 octobre 2014

You inspire me

Fade out lines



It’s everywhere I look
From Las Vegas to right here
Under your dresser
Right by your ear
It's creeping in sweetly
It's definitely here
There's nothing more deadly
Than slow growing fear

Life was full and fruitful
And you could take a real bite
The juice poring well over
Your skins delight
But the shadow it grows
And takes the depth away
Leaving broken down pieces
To this priceless ballet

The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line
The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line

Did we build all those bridges
To watch them thin down to dust
Or blow them voluntarily
Out of constant trust
The clock is ticking its last couple of tocks
And there won’t be a party with weathering frocks

The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line
The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line

Heading deeper down
We're sliding without noticing
Our own decline
Heading deeper down
We're hanging onto
Sweet nothings left behind

Deeper down
We're all going down
Down deeper down, yeah

We are all plunging straight towards our own decline
Without noticing
We slide
Down
Deeper down
The shadow grows without ever slowing down
We are heading straight
Into the fade out line

The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line
The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line

The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line
The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line

The shallower it grows
The shallower it grows
The fainter we go
Into the fade out line
The shallower it grows

Stay alive



There's a rhythm in rush these days
Where the lights don't move and the colors don't fade
Leaves you empty with nothing but dreams
In a world gone shallow
In a world gone lean

Sometimes there's things a man cannot know
Gears won't turn and the leaves won't grow
There's no place to run and no gasoline
Engine won't turn
And the train won't leave

Engines won't turn and the train won't leave

I will stay with you tonight
Hold you close 'til the morning light
In the morning watch a new day rise
We'll do whatever just to stay alive
We'll do whatever just to stay alive

Well the way I feel is the way I write
It isn't like the thoughts of the man who lies
There is a truth and it's on our side
Dawn is coming
Open your eyes
Look into the sun as the new days rise

And I will wait for you tonight
You're here forever and you're by my side
I've been waiting all my life
To feel your heart as it's keeping time
We'll do whatever just to stay alive

Dawn is coming
Open your eyes
Dawn is coming
Open your eyes
Dawn is coming
Open your eyes
Dawn is coming
Open your eyes

Look into the sun as the new days rise
There's a rhythm in rush these days
Where the lights don't move and the colors don't fade
Leaves you empty with nothing but dreams
In a world gone shallow
In a world gone lean

But there is a truth and it's on our side
Dawn is coming open your eyes
Look into the sun as a new days rise

samedi 26 avril 2014

Donner du sens

"Ne juge pas la journée en fonction de la récolte du soir mais d’après les graines que tu as semées."

L'offrande lyrique


I
 Tu m’as fait infini, tel est ton plaisir. Ce frêle calice tu l’épuises sans cesse et le remplis sans cesse à neuf de fraîche vie.
Cette petite flûte de roseau, tu l’as emportée par les collines et les vallées et tu as soufflé, au travers, des mélodies éternellement neuves.
À l’immortel toucher de tes mains, mon cœur joyeux échappe ses limites et se répand en ineffables épanchements.
Tes dons infinis, je n’ai que mes étroites mains pour m’en saisir. Mais les âges passent et encore tu verses et toujours il reste de la place à remplir.

II
 Quand tu m’ordonnes de chanter, il semble que mon cœur doive crever d’orgueil ; et je regarde vers ta face, et des pleurs me viennent aux yeux.
Tout le rauque et le dissonant de ma vie fond en une seule suave harmonie — et mon adoration éploie les ailes comme un joyeux oiseau dans sa fuite à travers la mer.
Je sais que tu prends plaisir à mon chant. Je sais que, comme un chanteur seulement, je suis admis en ta présence.
Mon chant largement éployé touche de l’extrémité de son aile tes pieds que je désespérais d’atteindre.
Ivre de cette joie du chanter, je m’oublie moi-même et je t’appelle ami, toi qui es mon Seigneur.

III

Mais comment toi tu chantes. Maître, je l’ignore ! Et j’écoute toujours dans l’éblouissement silencieux.
La lumière de ta musique illumine le monde. Le vital souffle de ta musique roule de ciel en ciel.
Le flot sacré de ta musique à travers les digues de pierre se fait jour et se précipite.
Mon cœur aspire à se joindre à ton chant, mais s’efforce en vain vers la voix. Je parlerais... Mais aucun chant ne se forme de mon langage et je me lamente confus. Ah ! tu as fait mon cœur captif, Maître, dans les lacs infinis de ta musique.

 IV
 Vie de ma vie, toujours j’essaierai de garder mon corps pur, sachant que sur chacun de mes membres repose ton vivant toucher.
Toujours j’essaierai de garder de toute fausseté mes pensées, sachant que tu es cette vérité qui éveille la lumière de la raison dans mon esprit.
Toujours j’essaierai d’écarter toute méchanceté de mon cœur et de maintenir en fleur mon amour, sachant que tu as ta demeure dans le secret autel de mon cœur.
Et ce sera mon effort de te révéler dans mes actes, sachant que c’est ton pouvoir qui me donne force pour agir.

V
 Je te demande en grâce, permets qu’un instant je me repose à tes côtés. Les œuvres que j’ai entreprises, je les finirai par la suite.
Privé de la vue de ta face, mon cœur ne connaît ni repos, ni répit, et mon labeur n’est plus qu’une peine infinie dans un illimité désert de peine.
Aujourd’hui l’été est venu à ma fenêtre avec ses murmures et ses soupirs et les abeilles empressées font la cour au bosquet fleuri.
Voici l’heure de la quiétude et de chanter, face à face avec toi, la consécration de ma vie, dans le silence de ce surabondant loisir.

VI
 Cueille cette frêle fleur, prends-la vite! De crainte qu’elle ne se fane et ne s’effeuille dans la poussière.
S’il n’y a point place pour elle dans ta guirlande, fais-lui pourtant l’honneur du contact douloureux de ta main ; cueille-la.
Je crains que le jour ne s’achève avant que je ne m’en doute et que le temps de l’offertoire ne soit passé.
Bien que sa couleur soit discrète et que timide soit sa senteur, prends cette fleur à ton service et cueille-la tandis qu’il en est temps.

VII
 Mon chant a dépouillé ses parures. Je n’y mets plus d’orgueil.
Les ornements gêneraient notre union ; ils s’interposeraient entre nous, et le bruit de leur froissement viendrait à couvrir tes murmures.
Ma vanité de poète meurt de honte à ta vue. Ô Maître-Poète ! je me suis assis à tes pieds. Que seulement je fasse de ma vie une chose simple et droite, pareille à une flûte de roseau que tu puisses emplir de musique.

lundi 7 avril 2014

Le Chemin du pays où rien n'est impossible

C'est moi qui ai choisi ce chemin difficile.
Aujourd'hui je m'arrête à deux pas du ravin
À regarder le vide avec un air tranquille,
Et si je n'ai pas peur, c'est de tenir ta main.
Je n'ai plus qu'à marcher vers l'étape suivante
En mettant tout mon coeur à trouver le sentier
De plus en plus étroit, de plus en plus en pente,
Et qui déjà serpente au milieu de l'été.

Tu m'as tenu la main jusqu'à ce coin tranquille
Où nous avons posé nos valises et nos coeurs.
Il me faut repartir vers les rues de la ville
Et porter des nouvelles au miroir du bonheur.
J'en ai rempli ma vie depuis que tu existes,
Et j'ai tari mes larmes au creux de ton regard.
J'ai découvert la peur de t'avoir rendue triste
Et l'infinie fierté de te rendre l'espoir.

Me revoilà debout, je marche, je décolle
Et je plane au dessus des fenêtres allumées,
Des cheminées qui fument et des préaux d'école,
Et déjà ma raison s'endort à poings fermés.
Un paysage entier couvert de feuilles mortes
Avec une barrière dans une forêt,
Quatre maisons de planches où s'ouvrent quatre portes,
Au dedans la pénombre a gardé son secret.

Des voix qui se répondent, étouffées par l'automne,
En un concert bizarre où les cris des oiseaux,
Tous les secrets échos dont la forêt résonne
Ont mêlé leur silence au murmure de l'eau.
Si je traverse encore les secrets de la bible
Et l'écorce du temps jusqu'au coeur de la vie,
J'irai jusqu'au pays où rien n'est impossible,
Et j'en rapporterai ce qui te manque ici.
Et j'en rapporterai ce qui te manque ici.

samedi 5 avril 2014

Le Prophète



Un monument de poésie et d'idées édifiantes...

Déférence

« Mon chant a dépouillé ses parures. Je n’y mets plus d’orgueil. Les ornements gêneraient notre union ; ils s’interposeraient entre nous, et le bruit de leur froissement viendrait à couvrir tes murmures. »

samedi 22 mars 2014

Ich will nur



Et un très bon remix...

Ich will nur

Versteck mich wo du mich nicht findest,
Damit auch du mich mal vermisst.
Hab mich seit Wochen nicht gemeldet,
Und frag mich ständig wo du bist.
Ich will nur dass du weißt, ich hab dich immer noch lieb.
Und dass es am Ende auch keine andere gibt,
Die mich so vollendet,
Die mich so bewegt.
Ich zeig dir, dass ich dich nicht brauche,
Und dass ich gehen kann wann ich will.
Weißt du eigentlich wie viel ich rauche, seitdem du weg bist?
Und wenn du fragst, dann bin ich still.
Ich will nur dass du weißt, ich hab dich immer noch lieb.
Und dass es am Ende auch keine andere gibt,
Die mich so vollendet,
Die mich so bewegt.
Ich will nur dass du weißt, ich hab dich immer noch lieb.
Und dass es am Ende auch keine andere gibt,
Die mich so vollendet,
Die mich so bewegt.
Ich will nur dass du weißt, ich hab dich immer noch lieb.
Und dass es am Ende auch keine andere gibt,
Die mich so vollendet,
Die mich so bewegt.

I just want

I hide where you won't find me
so you miss me once in a while
Didn't get in touch with you in weeks,
continuously wondering where you are
I just want you to know I still love you
and there's no one else down the road
who completes like you do
who affects me like you do
I show you I don't need you
and I can leave whenever I want
You know how much I smoke
since you're gone ?
and when you ask me, I am silent
I just want you to know I still love you
and there's no one else down the road
who completes like you do
who affects me like you do
I just want you to know I still love you
and there's no one else down the road
who completes like you do
who affects me like you do
I just want you to know I still love you
and there's no one else down the road
who completes like you do
who affects me like you do

mercredi 1 janvier 2014

Très bonne année 2014



La liberté d'être soi-même n'a de limites que celles qu'on s'impose nous-même.
Prenez soin de vous, apprenez de vos expériences, soyez indulgent avec votre ignorance et allez de l'avant en souriant.