mardi 27 septembre 2011

La bouche à la vulve


A cheval par dessus ton visage, ô bandante,
Pour que tu puisses voir ma verge et mon anus,
Je plongerai dans la blessure de Vénus
Ma langue impétueuse et ma bouche abondante.

Je trouerai dans les poils le baiser rubicond
Des grandes lèvres, sur qui frémiront mes lèvres,
Et comme un dard de bouc à la vulve des chèvres
Le membre de ma gueule enfilera ton con.

Et tu hurleras, tu pleureras sous la brulure,
Mais l’emportement sauvage de mon allure
Tremblera jusqu’au fond par bonds interrompus.

Et fou d’avoir léché la fente vaginale,
Je boirai sur le spasme de ses bords lippus
Les fleurs témoignant de ta joie infernale...