Quelques vagues de mots et leur mélodie, d'images et d'émotions pour me dévoiler en partie. Avant de regarder par cette fenêtre, retenez la citation de Jalal ud-Dîn Rumi : "La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu et qui s'est brisé. Chacun en ramasse un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve." Au plaisir de partager ce que vous avez trouvé, compris, ressenti... Bon voyage...
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dimanche 31 juillet 2016
dimanche 11 janvier 2015
jeudi 28 juin 2012
dimanche 26 février 2012
Je prends le risque
Je veux pouvoir t’aimer sans m’agripper,
t’apprécier sans te juger,
te rejoindre sans t’envahir,
t’inviter sans insistance,
te laisser sans culpabilité,
te critiquer sans te blâmer,
t’aider sans te diminuer.
Oui, mais ce faisant, je prends le risque de mes démesures
et le risque de tes blessures.
Je prends le risque de te donner
plus que tu ne désires,
et celui de recevoir moins que je ne voudrais,
à moins que ce ne soit l’inverse !
Je prends le risque du silence,
celui de la parole, de la distance et celui des gestes proches.
Je prends le risque de l’absence et aussi celui du manque.
Oui, je prends même le risque de te faire fuir à trop, ou à mal t’aimer.
Mais je ne prends pas le risque de garder les fleurs fanées,
de refuser les fleurs demandées, d’abîmer les fleurs reçues;
et surtout, je ne prends pas le risque de me renier
en reniant la vie qui me contient.
Je peux ainsi rester moi, reliée à toi et peut-être toi, relié à moi…
pour tant de partages à vivre.
t’apprécier sans te juger,
te rejoindre sans t’envahir,
t’inviter sans insistance,
te laisser sans culpabilité,
te critiquer sans te blâmer,
t’aider sans te diminuer.
Oui, mais ce faisant, je prends le risque de mes démesures
et le risque de tes blessures.
Je prends le risque de te donner
plus que tu ne désires,
et celui de recevoir moins que je ne voudrais,
à moins que ce ne soit l’inverse !
Je prends le risque du silence,
celui de la parole, de la distance et celui des gestes proches.
Je prends le risque de l’absence et aussi celui du manque.
Oui, je prends même le risque de te faire fuir à trop, ou à mal t’aimer.
Mais je ne prends pas le risque de garder les fleurs fanées,
de refuser les fleurs demandées, d’abîmer les fleurs reçues;
et surtout, je ne prends pas le risque de me renier
en reniant la vie qui me contient.
Je peux ainsi rester moi, reliée à toi et peut-être toi, relié à moi…
pour tant de partages à vivre.
mardi 14 février 2012
La fable des deux loups
Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère contre un ami qui s'était montré injuste envers lui :
- "Laisse-moi te raconter une histoire... Il m'arrive aussi, parfois, de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n'en éprouvent aucun regret. Mais la haine t'épuise, et ne blesse pas ton ennemi. C'est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J'ai souvent combattu ces sentiments"
Il continua :
- "C'est comme si j'avais deux loups à l'intérieur de moi; le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l'entoure et ne s'offense pas lorsqu'il n'y a pas lieu de s'offenser. Il combat uniquement lorsque c'est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l'autre loup, ahhhh...! Il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage."
Et puis,
- "Il se bat contre n'importe qui, tout le temps, sans raison. Il n'est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère, et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l'intérieur de moi, parce que tous deux veulent dominer mon esprit."
Le garçon regarda attentivement son grand-père dans les yeux et demanda :
- " Lequel des deux loups l'emporte, grand-père ?"
Le grand-père sourit et répondit doucement :
- "Celui que je nourris."
* sculpture de Véronique Durieux
dimanche 12 février 2012
Chacun porte son bonheur dans son coeur
Un jeune homme s’approcha et lui dit :
- "Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?"
- "Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?"
Le vieil homme lui répondit par une question :
- "Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?"
- "Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?"
- "Égoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle
j’étais bien content de partir", dit le jeune homme. Le vieillard
répondit :
- "Tu trouveras les mêmes gens ici."
- "Tu trouveras les mêmes gens ici."
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
- "Je viens d’arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?"
- "Je viens d’arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?"
Le vieille homme répondit de même :
- "Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? "
- "Ils étaient bons et accueillants, honnêtes ; j’y avais de bons amis ; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter", répondit le jeune homme.
- "Tu trouveras les mêmes ici", répondit le vieil homme.
- "Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? "
- "Ils étaient bons et accueillants, honnêtes ; j’y avais de bons amis ; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter", répondit le jeune homme.
- "Tu trouveras les mêmes ici", répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux non
loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième
jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de
reproche :
- "Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ? "
- "Celui qui ouvre son cœur change aussi son regard sur les autres", répondit le vieillard. "Chacun porte son univers dans son cœur."
- "Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ? "
- "Celui qui ouvre son cœur change aussi son regard sur les autres", répondit le vieillard. "Chacun porte son univers dans son cœur."
dimanche 1 janvier 2012
Réflexion - Compter son bonheur
Additionner ses regrets à ses chagrins
Et cultiver sa tristesse et ses peurs,
C’est se soustraire au bonheur.
Ce que vous retranchez de vos désirs
Et que vous cueillez spontanément
S’ajoutent à votre bonheur.
Et comme les bons comptes font les bons amis,
Alors soyez votre meilleur ami,
Et soyez sincère et généreux.
Je vous souhaite d'être indulgent avec vous-même pour tout ce qui est derrière vous,
D'être curieux, généreux et persévérant pour tout ce que vous voulez construire,
Et surtout soyez vous-même et heureux dès maintenant.
D'être curieux, généreux et persévérant pour tout ce que vous voulez construire,
Et surtout soyez vous-même et heureux dès maintenant.
samedi 22 octobre 2011
Le savoir être dans le Romantisme
"Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du
« moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et
faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le
romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les
possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé."
Source : wikipédia
Source : wikipédia
lundi 5 juillet 2010
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